Notre histoire
120 ans d'histoire
Ici se devine une histoire... Cet ancien relais poste diligence vit le jour à Sainte Foy Tarentaise en 1888. Il fut autrefois tenu par la famille Arpin durant 5 générations. Toujours dans la famille et dirigé aujourd’hui par son propriétaire Yves Marmottan et par Hélène, sa fille, l’hôtel le Monal perpétue toujours une tradition d’accueil dans un bel esprit.
120 ans d'histoire
Ici se devine une histoire... Cet ancien relais poste diligence vit le jour à Sainte Foy Tarentaise en 1888. Il fut autrefois tenu par la famille Arpin durant 5 générations. Toujours dans la famille et dirigé aujourd’hui par son propriétaire Yves Marmottan et par Hélène, sa fille, l’hôtel le Monal perpétue toujours une tradition d’accueil dans un bel esprit.
Dans les années 60, Michel Arpin (Membre de l’équipe de France de ski, participant aux JO en 1968, coach de Jean Claude Killy et ami de Lionel Terray), avec son frère Guy Arpin marquèrent tous deux les lieux d’une forte identité montagnarde liée au ski.
Guy, en plus d’être un skieur talentueux, était également un passionné de Musique. L’hôtel fut donc un lieu de rencontre et de convivialité grâce à l’accueil d’Odette et aux airs d’accordéon de Guy et ses amis.
Guy, en plus d’être un skieur talentueux, était également un passionné de Musique. L’hôtel fut donc un lieu de rencontre et de convivialité grâce à l’accueil d’Odette et aux airs d’accordéon de Guy et ses amis.
1888
A l’origine, en lieu et place de l’hôtel, se tenait une vieille auberge de campagne fondée et tenue par Anastase Empereur et son épouse Marie Arnaud. Cette auberge ancien relais poste et diligence fut un haut lieu de rencontre et résista au temps, miraculeusement épargnée par les bombardements de la guerre de 1940.
1906
Ce fut Hortense, leur fille, aidée par son époux Adolphe Stanislas Arpin qui reprendra l’affaire. Elle sera suivie en 1906 par son fils Marius, et son épouse Herminie, Marius partageant ses occupations entre le bistrot et la ferme familiale.
1914
L’hôtel sera démoli pour travaux. Marius décèdera un an après le début de la guerre à Souchy dans le Pas de Calais, laissant sa veuve Herminie seule avec ses trois enfants. Armée de courage elle décidera de poursuivre les travaux engagés et y réussira grâce à sa ténacité et grâce à l’aide de ses amis.
L’auberge devint alors l’hôtel Arpin. Sa clientèle évolue. La clientèle de passage se transforme en clientèle de séjour, pour deux, trois semaines, voire un mois. Adolphe, son beau-père, aidera Herminie jusqu’à son décès en 1925. Ida et Noémie, ses deux filles, l’aideront également, tandis que Fernand son fils reprendra plutôt la ferme familiale.
L’auberge devint alors l’hôtel Arpin. Sa clientèle évolue. La clientèle de passage se transforme en clientèle de séjour, pour deux, trois semaines, voire un mois. Adolphe, son beau-père, aidera Herminie jusqu’à son décès en 1925. Ida et Noémie, ses deux filles, l’aideront également, tandis que Fernand son fils reprendra plutôt la ferme familiale.
1925
Fernand épouse Adèle Empereur. De leur union naîtront trois enfants : Guy, Arlette et Michel.
1930
Les quinze chambres et la salle à manger accueillent déjà les précurseurs du ski. Le ton est donné. Passionné de ski, Guy Arpin rejoint l’équipe de France de 1951 à 1956 suivi par son frère Michel qui rentre en équipe nationale de 1956 à 1966. Michel entraînera un jeune skieur prometteur dénommé Jean Claude Killy… Au décès d’Herminie, ce sont à leur tour, Ida, sa soeur Noémie accompagnée de son compagnon Francis Recordon, Maire de Sainte Foy, qui s’occupent de l’établissement.
1969
Guy Arpin et son épouse Odette reprennent l’hôtel.
1972
Au printemps, l’hôtel est à nouveau démoli et reconstruit aux normes deux étoiles. Il sera rebaptisé Hôtel « le Monal » à sa réouverture, neuf mois après, en décembre 1972. Guy et Odette marqueront leur empreinte d’un accueil convivial dans un esprit pension de Famille. Odette et Guy passeront le relais à leur fille Catherine et à son époux Yves Marmottan qui en devient l’unique propriétaire en 1997.
Aujourd'hui
Après une récente rénovation des vingt chambres et de la salle de restauration, l’ouverture du caveau, l’hôtel offre tout le confort et la qualité des services hôteliers classiques et s’est vu attribué trois cheminées et deux « marmites » par l’enseigne des «Logis de France». Yves Marmottan a été rejoint par sa fille Hélène, 6 ème génération de cette belle histoire.